Argentine, le retour

Publié le 3 Mai 2015

Argentine, le retour

La route qui descend de Tupiza vers la frontière argentine, est bordée de petits villages où, comme souvent en Bolivie, les cochons, les chiens, les poules et les moutons vivent en semi liberté au milieu des quelques habitants. Par le biai d'Adèle, éternel passeport de ce voyage, on essaie de communiquer..en vain. Ici, on ne parle pas Espagnol, mais Quechua (oui oui comme chez Decathlon!!).

Argentine, le retour
Argentine, le retour
Argentine, le retour

Arriver en Argentine de Bolivie, c’était un peu comme rentrer à la maison. A peine la frontière passée, il y a du bon gazoil, de la bonne viande, des rues larges comme des avenues et ce fameux accent qui fait qu’on ne les comprend pas.

La frontière est vite passée, mais c’est un peu glauque. Comme les taxes douanières sur les transports routiers sont très chères entre l’Argentine et la Bolivie, les marchandises sont déchargée d’un côté de la frontière, transportées à pied par des boliviens jusqu’à l’autre côté et chargées à nouveau dans des camions. On voit donc défiler, au pas de courses, des dizaines de Boliviens, qui charrient des sacs et des sacs…

 

Argentine, le retour

Un peu plus loin, au milieu des montagnes, on arrive à la laguna de Pozuelos, une réserve naturelle de flamands roses et autres oiseaux rares, perchée à 3600m. Nous sommes encore une fois seuls de chez seuls pour apprécier le spectacle…

 

Argentine, le retour
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Argentine, le retour
Argentine, le retour

En redescendant vers Salta, on s’arrête dans les villages de Huamamarca  puis  Tilcara pour encore quelques bonnes surprises. Des petits cafés en terrasse sous le beau soleil du mois d’Avril, mais aussi une superbe excursion (25km de ripio,  avec 1000m de dénivelé sur 12km, et le camping-car qui chauffe pour la première fois du voyage) qui nous mène au superbe et encore peu connu panorama de Hornocal.

 

Argentine, le retour
Argentine, le retour
Argentine, le retour

Puis, on repasse à Jujuy, escale technique qui nous permet de faire enfin la vidange ! Comme le vendeur du feu vert local n’avait pas de clé carrée à nous vendre, il nous a proposé de nous prêter  la sienne ! Bon, en fait, à la fin, c’est carrément lui qui a fait la vidange (mais avec notre huile et nos filtres), parce que sur cale et à l’abri, c’était quand même plus facile que sur le parking et sous la pluie !!,

On repasse aussi par Salta, pour une visite du musée qui expose les corps d’enfants incas sacrifiés et enterrés au sommet d’un volcan, et retrouvés congelés, quasiment intacts grâce aux conditions météo locales. Impressionnant.

Rédigé par Amélie et Dam

Publié dans #mai, #argentine, #carnet de route

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A
Fantastiques paysages! La palette du peintre!
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